Avant l’intervention
En fonction de votre intervention, vous entrez à la clinique la veille ou (gestes mineurs au membre supérieur) le jour de l’opération.
Certes, il vous faut, encore pour quelque temps en 2012 (smartphones ?), apporter tous les examens prescrits par le Docteur Pierre SURUGUE et l’anesthésiste (radiographies, scanner, IRM, examens sanguins, urinaires, dentaires etc.).
Quant au matériel médical éventuellement requis pour les suites de votre intervention (bas de contention, attelle, déambulateur, mais PAS de cannes anglaises etc.), il est depuis deux décennies livré le soir de votre opération, par les soins de mon équipe (Mme S...).
Vous pouvez apporter le linge (même fragile car les "antiseptiques", très peu utilisés lors de très rares pansements ont peu de chance de le tacher) et nécessaire de toilette, voire un thermomètre fiable et un système de "pancarte" traditionnelle, car il ne sont pas ou plus fourni par la (les) clinique(s), en 2012.
L’infirmièr(e) se doit de vous confirmer l’heure prévue (de longue date, dès la consultation) de votre intervention (prothèse de genou de hanche, sciatique, spondylolisthésis), cette heure n'est pas donné à titre indicatif, sauf pour les interventions les moins lourdes et dans ce dernier cas (canal carpien sous anesthésie locale, NON A JEUN) peut varier en fonction de l’avancement du programme opératoire.
Avec le plus grand soin, le personnel paramédical peut être amené à examiner pour préparer (dépiler en douceur entre autres gestes) le site opératoire.
La douche bien "protocolaire" avec un produit antiseptique ayant "pour but de tuer le maximum de germes présents de façon habituelle sur la peau" n'est pas un temps aisé pour les sujets les plus handicapés qui en ont le plus grand besoin (prothèse de genou sur gonarthrose évoluée bilatérale, etc.) et le rôle des aides soignantes est déterminant dans la préparation cutanée pré-opératoire.
Sauf anesthésie locale (ex. canal carpien, diabète), être à jeun (ne pas manger, ne pas boire, ne pas fumer) au minimum 6 heures avant l’intervention, est la règle, mais cette règle soit précisément épargner les indications d'anesthésie LOCALE, non rares.
L'aller au bloc opératoire doit se faire sans bijou, sans prothèse dentaire, sans lentille de contact, sans vernis à ongle et sans maquillage.
Une à deux heures avant l’intervention, l’infirmièr(e), selon les habitudes de l'anesthésiste (et les modes), donne éventuellement une prémédication : médicament destiné à détendre et surtout source d'amnésie temporaire (ne rien avoir signer et dès lors, ne rien signer, comme une décharge de non transfusion, parfois exigé à la derrière minute sur la table, par un "jeune" ou moins jeune, "iâtrocrate" moderne...).
Certes, il vous faut, encore pour quelque temps en 2012 (smartphones ?), apporter tous les examens prescrits par le Docteur Pierre SURUGUE et l’anesthésiste (radiographies, scanner, IRM, examens sanguins, urinaires, dentaires etc.).
Quant au matériel médical éventuellement requis pour les suites de votre intervention (bas de contention, attelle, déambulateur, mais PAS de cannes anglaises etc.), il est depuis deux décennies livré le soir de votre opération, par les soins de mon équipe (Mme S...).
Vous pouvez apporter le linge (même fragile car les "antiseptiques", très peu utilisés lors de très rares pansements ont peu de chance de le tacher) et nécessaire de toilette, voire un thermomètre fiable et un système de "pancarte" traditionnelle, car il ne sont pas ou plus fourni par la (les) clinique(s), en 2012.
L’infirmièr(e) se doit de vous confirmer l’heure prévue (de longue date, dès la consultation) de votre intervention (prothèse de genou de hanche, sciatique, spondylolisthésis), cette heure n'est pas donné à titre indicatif, sauf pour les interventions les moins lourdes et dans ce dernier cas (canal carpien sous anesthésie locale, NON A JEUN) peut varier en fonction de l’avancement du programme opératoire.
Avec le plus grand soin, le personnel paramédical peut être amené à examiner pour préparer (dépiler en douceur entre autres gestes) le site opératoire.
La douche bien "protocolaire" avec un produit antiseptique ayant "pour but de tuer le maximum de germes présents de façon habituelle sur la peau" n'est pas un temps aisé pour les sujets les plus handicapés qui en ont le plus grand besoin (prothèse de genou sur gonarthrose évoluée bilatérale, etc.) et le rôle des aides soignantes est déterminant dans la préparation cutanée pré-opératoire.
Sauf anesthésie locale (ex. canal carpien, diabète), être à jeun (ne pas manger, ne pas boire, ne pas fumer) au minimum 6 heures avant l’intervention, est la règle, mais cette règle soit précisément épargner les indications d'anesthésie LOCALE, non rares.
L'aller au bloc opératoire doit se faire sans bijou, sans prothèse dentaire, sans lentille de contact, sans vernis à ongle et sans maquillage.
Une à deux heures avant l’intervention, l’infirmièr(e), selon les habitudes de l'anesthésiste (et les modes), donne éventuellement une prémédication : médicament destiné à détendre et surtout source d'amnésie temporaire (ne rien avoir signer et dès lors, ne rien signer, comme une décharge de non transfusion, parfois exigé à la derrière minute sur la table, par un "jeune" ou moins jeune, "iâtrocrate" moderne...).
Après l’intervention
Après l’intervention, vous allez en salle de soins post-interventionnelle (SSPI : prononcez toutefois, de plus en plus, salle de "réveil" en raison de coordination discutable non rare en 2012 entre chirurgien et anesthésiste pour opérations... mineures) puis, dès qu'anesthésiste ET chirurgien jugent que votre état le permet, vous êtes reconduit dans votre chambre.
En pré (sciatique hyperalgique), per et postopératoire, la douleur est gérée de façon optimale, le panel de médicaments antalgiques, notamment in situ (ropivacaïne), étant vaste. Pour ce faire, l’équipe médicale et paramédicale est à votre écoute et la prescription d’antalgiques est révisée à chaque CVs, en fonction des douleurs, en tenant LE PLUS compte des effets indésirables possibles et imprévisibles des narcotiques, surtout en cas d'hypovolémie ou de très grand âge. J'ai observé ces toutes dernières années, plusieurs cas d'apnées, en chambre de retour du bloc, en rapport direct avec la (bien trop) grande vulgarisation (très excessive et kouchnériennement sloganesque) de la prescription de narcotique... par tout un chacun (PCA...même chez des jeunes), sans connaissance pointue ni du diagnostic, ni des antécédents (malgré des paperasses monstrueusement croissantes de dossier et de consentements (éclairés ?).
Ceci explique-t-il cela ?
Qui dit morphine (bonne indication) dit aussi service de soins continus (ou SSC).
Avec le chômage, les acronymes et sigles sont de retour (SSPI, SSC, ARH, HASS), acronymes friands de la LTI admirablement décrite dès les années 30 en Allemagne par Kemperer)
En pré (sciatique hyperalgique), per et postopératoire, la douleur est gérée de façon optimale, le panel de médicaments antalgiques, notamment in situ (ropivacaïne), étant vaste. Pour ce faire, l’équipe médicale et paramédicale est à votre écoute et la prescription d’antalgiques est révisée à chaque CVs, en fonction des douleurs, en tenant LE PLUS compte des effets indésirables possibles et imprévisibles des narcotiques, surtout en cas d'hypovolémie ou de très grand âge. J'ai observé ces toutes dernières années, plusieurs cas d'apnées, en chambre de retour du bloc, en rapport direct avec la (bien trop) grande vulgarisation (très excessive et kouchnériennement sloganesque) de la prescription de narcotique... par tout un chacun (PCA...même chez des jeunes), sans connaissance pointue ni du diagnostic, ni des antécédents (malgré des paperasses monstrueusement croissantes de dossier et de consentements (éclairés ?).
Ceci explique-t-il cela ?
Qui dit morphine (bonne indication) dit aussi service de soins continus (ou SSC).
Avec le chômage, les acronymes et sigles sont de retour (SSPI, SSC, ARH, HASS), acronymes friands de la LTI admirablement décrite dès les années 30 en Allemagne par Kemperer)
Victor Klemperer se méfiait - à juste titre -comme moi aujourd'hui des sigles et acronymes foireux et pas seulement de SA et SS...
Les termes "total" "final" sentaient aussi le soufre.
Que dire de SSC en 2012 ?
Bel aveu pour les autres services "normaux" ?
Adjectif "normal" remis au goût du jour le 6 mai 2012 signifie-t-il "intermittent du spectacle" au mieux et au pire "médiocre" ?
Pendant votre séjour
L’équipe d’anesthésie - en coordination TRES étroite (smartphone) avec le chirurgien et les infirmièr(e)s - gère les problèmes médicaux (la partie médicale), liés notamment à vos antécédents, à la réintroduction du traitement personnel
Le Docteur Pierre SURUGUE vient vous voir (bi)quotidiennement (V et CV) pour vérifier que les suites opératoires se passent au mieux et s’enquérir de votre état de santé.
Le Docteur Pierre SURUGUE vient vous voir (bi)quotidiennement (V et CV) pour vérifier que les suites opératoires se passent au mieux et s’enquérir de votre état de santé.
Le jour de votre sortie ou mieux 48 heures AUPARAVANT
Idéalement, la sortie devrait être fixée en visite commune avec LA surveillante (vieille tradition présoixantehuitarde...) : on peut toujours rêver d'un retour de mode avec la crise ....
Le Docteur SURUGUE, via Mme S..., secrétaire-instrumentiste-conseillère privée, vous remet les ordonnances nécessaires (médicaments contre la douleur, arixtra, soins locaux, radios ou autre…),et la date de consultation de contrôle à son cabinet.
Le Docteur SURUGUE vous rappelle, s'il était besoin (!) son numéro de téléphone portable 0690 55 38 31 où vous pouvez le joindre pour tout problème urgent, à toute heure, si d'ordre médical seulement.
Sinon, pour tout autre question, prenez l'habitude de passer via CONTACT sur le présent site: accès très rapide sur tout smartphone.
Le Docteur SURUGUE, via Mme S..., secrétaire-instrumentiste-conseillère privée, vous remet les ordonnances nécessaires (médicaments contre la douleur, arixtra, soins locaux, radios ou autre…),et la date de consultation de contrôle à son cabinet.
Le Docteur SURUGUE vous rappelle, s'il était besoin (!) son numéro de téléphone portable 0690 55 38 31 où vous pouvez le joindre pour tout problème urgent, à toute heure, si d'ordre médical seulement.
Sinon, pour tout autre question, prenez l'habitude de passer via CONTACT sur le présent site: accès très rapide sur tout smartphone.