L'urgence orthopédique est... "vasculaire" (ischémie). Que faire?
Il n'existe pas plusieurs catégories d'urgences chirurgicales: parmi infections aigues, traumatismes, hémorragies, dégradations esthétiques majeures et subites et douleurs aigues, seule l'ischémie menaçante a le droit de s'appeler "urgence" en orthopédie.
Cette URGENCE est TRES RARE : 3 cas "PERSOS3 en services public de 1983 à 1989.
Le chirurgien laisse en place tout ce qu'il fait et commence à raser le membre contro-latéral (autogreffe saphène interne fémorale toujours possible à déclamper vant H4 (et non H6).
La rareté de ces situations fait que le résultat est trop souvent catastrophique.
En cas de tels problèmes, vous pouvez toujours tenter de me contacter, au 0690 55 38 31.
Le caractère d'urgence de votre situation serait évalué en qqes minutes et nous nous efforcerions d'y répondre le plus rapidement possible, en offrant une éventuelle participation très expérimentée (élève d'Andréassian, Kieffer, Lacombe et Cauchoix) dans ce cadre.
Quant à la douzaine de paraplégie par compression d'installation subaigue observées chaque année dans l'archipel, nous avons su y répondre en notre "temps" au Camp Jacob: 2 ou 3 cas annuels avec récupérations brillantes (un grand merci à mes Maîtres parisiens neurochirurgiens, Pr Marcel David, José Aboulker et Jacques Philippon: 1968-1970 et à Jean Cauchoix, dont je suis élève et ancien CCA de 1976 à 1981)
Les Dimanches et jours fériés, un service de garde chirurgical est organisé par le Conseil Départemental de l'Ordre .
Il est également publié dans le quotidien régional.
Cette URGENCE est TRES RARE : 3 cas "PERSOS3 en services public de 1983 à 1989.
Le chirurgien laisse en place tout ce qu'il fait et commence à raser le membre contro-latéral (autogreffe saphène interne fémorale toujours possible à déclamper vant H4 (et non H6).
La rareté de ces situations fait que le résultat est trop souvent catastrophique.
En cas de tels problèmes, vous pouvez toujours tenter de me contacter, au 0690 55 38 31.
Le caractère d'urgence de votre situation serait évalué en qqes minutes et nous nous efforcerions d'y répondre le plus rapidement possible, en offrant une éventuelle participation très expérimentée (élève d'Andréassian, Kieffer, Lacombe et Cauchoix) dans ce cadre.
Quant à la douzaine de paraplégie par compression d'installation subaigue observées chaque année dans l'archipel, nous avons su y répondre en notre "temps" au Camp Jacob: 2 ou 3 cas annuels avec récupérations brillantes (un grand merci à mes Maîtres parisiens neurochirurgiens, Pr Marcel David, José Aboulker et Jacques Philippon: 1968-1970 et à Jean Cauchoix, dont je suis élève et ancien CCA de 1976 à 1981)
Les Dimanches et jours fériés, un service de garde chirurgical est organisé par le Conseil Départemental de l'Ordre .
Il est également publié dans le quotidien régional.
Les observations du Camp Jacob n'ont pas bénéficié (?) d'artério pré-op. Dans le cas (femme enceinte de 7 mois) où la réduction n'a pas abouti à une restauration rapide des pouls distaux, un pontage de saphène controlatérale inversée à sauver le membre à H4. Dans un second cas (flux restauré après réduction de la luxation) suivi plus de 25 ans (prothèse uni controlatéral , puis totale homolatéral) bien des années plus tard, le Dr W (cabinet privé de Basse terre) a contrôlé le rétablissement par artério après qqes jours: OK !
Variantes, mais je n'ai pas attendu la radio : smartphone et photos ?
Pour des raisons voisines de celles exposées dans une autre partie du site, carence quantitative des anesthésistes en service public, ma "génération" SAIT SANS RETARD, réduire (en GRANDE douceur ET sans anesthésie) toute luxation -ischémiante - ou non (coude, épaule)
Un dernier mot, pour la route, la plaie per-opératoire de l'artère poplitée lors de pose de PTG...
Les risque opératoires de la PTG, je cite : "Plaie artérielle : complication d’une rareté exceptionnelle, elle est gravissime."
En pratique, elle ne serait catastrophique qu'en cas de formation nulle en "vasculaire" chez le "poseur" monomaniaque de PTG.
Sinon, sans délai aucun (péridurale prolongée ou AG idem) agrandissement vers le haut et le bas, de l'incision cutané et suture : un cas "perso" de seconde main, l'autogreffe saphène (âge) était aussi au menu...
En pratique, elle ne serait catastrophique qu'en cas de formation nulle en "vasculaire" chez le "poseur" monomaniaque de PTG.
Sinon, sans délai aucun (péridurale prolongée ou AG idem) agrandissement vers le haut et le bas, de l'incision cutané et suture : un cas "perso" de seconde main, l'autogreffe saphène (âge) était aussi au menu...
Pour une plaie abordée en urgence... combien de "faux" anévrysmes ?
Dans ce dossier douleurs à J5 et pouls distaux perçus (!), si le niveau de la plaie correspond bien à celui de la plaie poplitée comme dans notre observation en regard du plan de coupe tibial, la plaie est ici partielle et... postérieure. La "nôtre" étant totale, notée ? au lacher de garrot ?
Bonne question !